La souplesse du compte titres, avec les avantages de l’assurance vie…

De plus en plus de conseillers se tournent vers l’assurance vie luxembourgeoise et notamment le FAS (fonds d’assurance spécialisé). Ce véhicule de placement recèle de nombreuses possibilités (mise en place de poches dédiées, accès au private equity, aux produits structurés en secondaire, pilotage des frais…) mais peut dérouter certains.

Comment piloter l’allocation d’un FAS lorsque le champ des possibles est quasi infini ? Quel est l’intérêt d’un allocataire indépendant dans ce cadre ? Pierre Bermond, associé fondateur d’EOS Allocations, nous apporte des éléments de réponse.

Partons d’un constat simple : le FAS (fonds d’assurance spécialisé) à la différence du FID ou du FIC, peut être « conseillé » par un CIF.

Dès lors, quel intérêt de passer par un allocataire indépendant ?

Où est la plus-value ? Pourquoi un intermédiaire de plus ?

Pierre Bermond met en avant 4 points :

• Sélection de fonds : Si, dans un contrat d’assurance vie française, le CIF doit choisir entre plusieurs centaines de fonds, il passe à plusieurs milliers dans le FAS. L’expertise et la connaissance de l’univers de la gestion collective deviennent donc un enjeu prépondérant.

• Réglementaire : Un FAS c’est de la souplesse mais aussi des procédures et notamment la justification précise des ordres et le suivi des fonds dans le temps. Avec un allocataire, les rôles de CIF d’un côté et courtier de l’autre sont clairement définis.

• Sur mesure : L’équipe d’EOS Allocations intervient à partir de 500 000 euros et permet un investissement progressif selon le cahier des charges du client. Pierre Bermond souligne que des FAS, entrés avant l’été, ont été très progressivement investis et disposent de niveau de cash de 50 à 70% actuellement afin de saisir les opportunités de la baisse.

• Communication : EOS Allocations fait des points réguliers avec les clients finaux et les courtiers, là aussi selon leur cahier des charges.

Pierre Bermond met également en avant la possibilité de faire facilement du secondaire sur produits structurés.

« Le secondaire sur les structurés, c’est beau sur le papier, mais concrètement difficile pour un conseiller en gestion de patrimoine d’en faire dans l’assurance vie française ».

Il est vrai que le secondaire est plutôt rare sur les produits de campagne en assurance vie. Seuls les comptes titres donnent réellement cette possibilité.

Or « le FAS, c’est la souplesse du compte titres, avec les avantages de l’assurance vie ».

EOS Allocations va donc analyser les produits structurés en secondaire, chez les structureurs/banques directement, mais aussi chez les courtiers, pour dénicher de « bonnes affaires ». En effet, des conditions de marché spécifiques (hausse de volatilité, changement de dividendes…) donnent lieu à des écarts de valorisation intéressants.

Mais attention, « tout ce qui brille n’est pas d'or » prévient Pierre Bermond. Il faut savoir sélectionner les produits. C’est ce savoir-faire que met en avant EOS Allocations.

Aujourd’hui, dans les FAS conseillés par EOS Allocations, la part de structurés évolue entre 10 et 30% selon la demande du client et les opportunités du moment.

EOS Allocations sera présent le 23 septembre à 10h30, lors du webinaire organisé par Lombard Assurance International, sur le thème « Produits structurés, Non côté, Allocations d'actifs... toutes les facettes du FAS ».

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Pour contacter EOS Allocations : contact@eos-allocations.fr

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