| CAC 40 | Perf Jour | Perf Ytd |
|---|---|---|
| 7981.07 | +0.34% | +8.13% |
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| Jupiter Merian Global Equity Absolute Return | 10.53% |
| Pictet TR - Atlas Titan | 10.09% |
| H2O Adagio | 8.19% |
| RAM European Market Neutral Equities | 7.75% |
| Fidelity Absolute Return Global Equity Fund | 7.20% |
| Syquant Capital - Helium Selection | 6.36% |
| Sienna Performance Absolue Défensif | 6.31% |
| M&G (Lux) Episode Macro Fund | 5.89% |
| Pictet TR - Atlas | 5.49% |
DNCA Invest Alpha Bonds
|
4.81% |
| Exane Pleiade | 4.79% |
| Cigogne UCITS Credit Opportunities | 4.30% |
| BNP Paribas Global Absolute Return Bond | 4.14% |
| AXA WF Euro Credit Total Return | 3.52% |
| Candriam Bonds Credit Alpha | 2.23% |
Candriam Absolute Return Equity Market Neutral
|
1.38% |
«Mario» n’est pas que le nom d’un célèbre petit plombier d’un jeu vidéo… explique Mario Petrachi, BNP Paribas
A Mario Monti, pour avoir, en un temps record, restauré la confiance des marchés vis-à-vis de l’Italie, réduisant fortement les craintes d’une faillite de son pays et, par conséquent, de la zone euro.
A Mario Draghi pour avoir, par son pragmatisme, fait injecter suffisamment de liquidités par la BCE pour éviter un crédit crunch général : l’opération « LTRO » est un succès et les propos tenus à Davos fin janvier sont très clairs sur la suite des évènements.
Bravo à l’un et à l’autre pour rappeler que ce prénom est aussi compatible avec une mission sérieuse dans la finance et faire oublier la référence au célèbre petit plombier d’un jeu vidéo…
L’obligataire : sortir du port et prendre le large !
Si on présume que – en partie grâce aux Mario - le plus dur de la crise de l’euro est derrière nous, et que la reprise américaine est en marche, les conclusions en matière de classes d’actifs à privilégier n’ont jamais été aussi claires depuis le printemps 2009 : d’abord, une grande prudence s’impose vis à vis des émissions classiques des Etats les mieux notés de la zone euro ou des Etats-Unis. Abris solides pendant la tempête, elles présentent aujourd’hui des rendements très bas et donc des sensibilités – mesure du risque de taux - qui n’ont jamais été aussi élevées, car les Etats attendent désormais l’inflation plus qu’ils ne la craignent et leurs politiques monétaires resteront accommodantes.
Il faut donc élargir ses horizons obligataires et privilégier d’abord les obligations indexées sur l’inflation - avec de préférence une allocation mondiale -, ensuite les obligations des entreprises européennes et américaines, principalement high yield, car elles présentent un rendement encore attrayant et bénéficieront d’une amélioration de la conjoncture, et enfin, les obligations des Etats émergents et de leurs entreprises. Ces dernières restent, selon nous, les opportunités les plus intéressantes : leurs rendements sont plus élevés, le risque de taux plus faible, les dynamiques de croissance locales limitent les risques de défaut et, après une année 2011 difficile, leurs devises reprennent leur tendance ascendante contre euro et dollar.
Les actions, enfin du vent dans les voiles !
Nous réaffirmons la conviction déjà exprimée lors du précédent numéro : grâce à la résorption de la crise de l’euro et la reprise qui s’annonce aux Etats-Unis, 2012 devrait être une bonne année pour les actions, toutes zones géographiques confondues. La dynamique économique des pays émergents est intacte. L’Amérique du Sud, profitera de la reprise américaine, particulièrement le Brésil grâce à l’effet matières premières (que l’on pourra aussi capter en investissant directement dans des fonds spécialisés…). Le marché indien nous semble aussi particulièrement attractif : l’inflation qui a pesé sur les actions en 2011 semble enfin jugulée, la santé financière et la croissance bénéficiaire de ses entreprises sont très élevées. Nous maintenons aussi notre opinion positive sur le marché chinois.
Cela dit, les actions des pays développés ne seront pas en reste : elles présentent globalement des niveaux de rendement – par rapport aux obligations – si élevés que l’on devrait voir, de part et d’autre de l’Atlantique – se multiplier les programmes de rachats d’actions, facteur important de soutien des marchés. Les actions américaines bénéficieront directement de la bonne résistance de l’activité des Etats-Unis. Enfin, les actions européennes sont très attractives : décotées depuis des années, nombre d’entre elles aujourd’hui mieux positionnées que jamais pour capter la croissance mondiale, et en particulier celle des pays émergents, souffriront peu de la probable faiblesse d’activité en zone euro. La mer ne fera donc pas monter tous les bateaux, et la prime ira aux gérants qui sauront identifier les meilleurs bénéficiaires de la mondialisation.
Mario Petrachi, Directeur Distribution Externe de BNP Paribas France
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| R-co 4Change Net Zero Equity Euro | 12.80% |
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| EdR SICAV Euro Sustainable Equity | 8.98% |
| BDL Transitions Megatrends | 7.66% |
| Palatine Europe Sustainable Employment | 6.43% |
| La Française Credit Innovation | 4.07% |
| Aesculape SRI | 2.67% |
| DNCA Invest Beyond Semperosa | 0.56% |
| Triodos Impact Mixed | 0.20% |
| Triodos Global Equities Impact | -1.39% |
| Triodos Future Generations | -3.71% |
| Echiquier Positive Impact Europe | -5.26% |