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| Sienna Performance Absolue Défensif | 6.46% |
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| Syquant Capital - Helium Selection | 6.36% |
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DNCA Invest Alpha Bonds
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4.82% |
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Candriam Absolute Return Equity Market Neutral
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1.05% |
"Quand les élections US risquent de perturber les marchés financiers...." Pascal Bernachon
Sans avoir à faire de promesses impossibles à tenir, le Président Obama bénéficiait jusqu’à présent d'une confortable avance dans les sondages, face à un candidat républicain en partie rejeté par son propre électorat du fait de l'appartenance à la communauté Mormone.
Le Président actuel avait donc de fortes chances d'être réélu en dépit de ses résultats économiques, déjouant les statistiques qui veulent qu'un Président avec un tel taux de chômage ne puisse pas retrouver la faveur des électeurs.
Avec le choix d'un colistier à la droite du parti républicain, spécialiste du Budget à la chambre basse, Mr Romney vient perturber les bookmakers. Ce sont deux visions opposées de la conduite des affaires de l'Etat qui s'affrontent avec l'arrivée du jeune Paul Ryan.
Son premier discours appelait à la poursuite du rêve américain : la possibilité offerte à tout un chacun de construire sa propre réussite avec un Etat le moins pesant possible. Ceci s’oppose totalement à la vision démocrate du Président actuel qui a en partie, socialisé (européanisé) la culture américaine en offrant une augmentation des couvertures sociales.
La question fondamentale est donc de savoir si les Etats-Unis ont changé au cours de ces dernières années, sous la pression des modifications socioculturelles liées à la montée en puissance des populations d'origine hispanique face aux générations issues des premiers pionniers.
Il semble bien pourtant que l'Amérique profonde reste attachée à "l'American dream" malgré ce que l'on appelle en France les Bobos de Manhattan.
L'arrivée de ce co-listier risque donc de fragiliser l'avance actuelle du Président sortant mais surtout de compliquer les discussions post électorales sur les nécessaires coupes budgétaires et le non renouvellement de certains avantages sociaux et fiscaux arrivant à échéance (le fiscal Cliff).
Tensions prévisibles d'autant que le plafond de la dette est atteint et qu'il faudra donc renégocier son augmentation pour la 71ème fois depuis 1960.
Deux visions donc du rôle de l'Etat vont s'opposer, avec en toile de fond un bilan peu glorieux, notamment en raison des répercussions de la crise.
Si le bilan économique, en partie lié à l'atonie européenne le pénalise, le Président Obama ne peut pas plus s’appuyer sur le bilan géopolitique.
Les républicains ne se privent pas de le tancer sur son immobilisme vis à vis de l'Iran.
Et malheureusement, si les prochains sondages venaient à montrer un recul des chances de Mr Obama dans la course à une nouvelle investiture, nous ne pourrions écarter le risque de le voir donner son accord à un bombardement en Iran. Ceci aurait pour conséquence de mettre aussi le Hezbollah libanais (allié de la Syrie) en difficulté.
Et oui, les statistiques nous montrent qu'un Président en période de conflit n'a jamais perdu une élection. Un bombardement pour une élection: cynique mais demeurer au pouvoir a un prix.
Donc d'ici quelques semaines, à la lecture des prochains sondages, nous saurons si le rêve américain perdure chez les électeurs ou si la crise a réellement modifié les mentalités.
Quoiqu'il en soit, la bataille au sein des deux chambres parlementaires, si elle ne se déroule pas dans les urnes, risque d'être brutale. Les marchés financiers seront inévitablement les spectateurs de cette joute oratoire et ne pourront éviter d'en analyser les risques et leurs conséquences futures.
Source : KBL Richelieu - Pascal Bernachon
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