CAC 40 | Perf Jour | Perf Ytd |
---|---|---|
7798.22 | -0.31% | +5.66% |
Pour en savoir plus, cliquez sur un fonds | |
RAM European Market Neutral Equities | 6.46% |
H2O Adagio | 5.86% |
Pictet TR - Atlas Titan | 5.70% |
Jupiter Merian Global Equity Absolute Return | 5.69% |
BNP Paribas Global Absolute Return Bond | 5.33% |
Sienna Performance Absolue Défensif | 4.66% |
Syquant Capital - Helium Selection | 4.36% |
Cigogne UCITS Credit Opportunities | 3.30% |
Pictet TR - Atlas | 3.25% |
Exane Pleiade | 3.07% |
M&G (Lux) Episode Macro Fund | 3.05% |
AXA WF Euro Credit Total Return | 2.82% |
DNCA Invest Alpha Bonds
![]() |
2.74% |
Fidelity Absolute Return Global Equity Fund | 2.03% |
Candriam Bonds Credit Alpha | 1.79% |
Candriam Absolute Return Equity Market Neutral
![]() |
-0.19% |
« Une majorité de gérants préfèrent sécuriser leur stratégie en ayant recours aux ETF…»
Après un été plutôt clément pour les marchés d’actions, les investisseurs naviguent en eaux troubles depuis le mois de septembre. Force est d’admettre que l’actualité apporte son lot d’incertitudes.
D’abord sur le plan politique avec l’attente d’une part des résultats des élections présidentielles américaines le 8 novembre et d’autre part de ceux prévus le 4 décembre du référendum italien, qui pourrait provoquer la démission de l’actuel chef du gouvernement Matteo Renzi.
Autre zone d’ombre, le rythme de relèvement des taux d’intérêts directeurs décidé par la Fed. Le tout dans un environnement où les fondamentaux macro et microéconomiques sont bons mais pas exceptionnels.
Dès lors, il est très difficile pour les gérants, qui auraient fait le choix d’une gestion passive, de générer de la performance. Pour preuve, de date à date au cours des deux dernières années (septembre 2014 à septembre 2016) les indices boursiers font du quasi surplace.
Toutefois, il est quand même possible, comme semble montrer la hausse de plus de 8% enregistrée par le fonds Maxima sur la même période avec une volatilité légèrement plus faible que la moyenne du marché, de délivrer de bonnes performances. À condition de ne pas opter pour un comportement moutonnier ou céder aux phénomènes de mode.
Être un spécialiste de la gestion active n’est pas tâche aisée. De nombreuses études ont montré que les gérants battent rarement leur indice de référence.
Or, les performances sont gravées dans le marbre et peuvent, si elles sont négatives, compromettre un track-record de façon durable. Dès lors, une majorité de gérants préfèrent sécuriser leur stratégie en ayant recours aux ETF qui permettent de répliquer les indices et remportent d’ailleurs beaucoup de succès si l’on se fie à l’envolée des encours au fil des crises successives depuis 2008.
Ainsi assiste-t-on, depuis quelques années à l’émergence de nouveaux concepts comme le smart beta ou encore le low beta qui s’imposent comme des techniques à la mode mais alimentent un comportement moutonnier qui n’est pas forcément très sain.
Certes, d’un point de vue historique les valeurs à faible volatilité enregistrent des performances supérieures à la moyenne. Mais il faut y intégrer un paramètre important qui est la notion de persistance de la performance. Notre métier consiste aussi bien à savoir naviguer dans le creux que sur le dos de la vague. D’ailleurs, un gérant est soumis à des obligations de reporting vis-à-vis de son client, qui sont le plus souvent établies sur des horizons plus courts.
Dans ce contexte, nous avons, à titre d’illustration, fait le choix d’appréhender nos choix d’investissements selon six axes d’analyse : valorisation, croissance, profitabilité, risque, dynamique bénéficiaire, et momentum de cours.
A partir de cette base, nous croisons l’ensemble de ces variables pour ne conserver que les valeurs « best in class » qui auront respecté une combinaison de ces critères.
Concernant le critère de la valorisation, nous prenons en compte plusieurs ratios comme le price to book, l’EV to ebitda, ou encore le taux de dividende, pour celui de la croissance, il s’agit de combiner des données historiques avec les anticipations du consensus.
Autre exemple, le critère de stabilité des prévisions bénéficiaires est pris en compte dans l’appréciation du risque, alors que celui du momentum des bénéfices repose sur l’observation d’une inflexion de tendance sur la dynamique de révision bénéficiaire.
Au final une règle d’or s’impose : pour optimiser ses chances de réussite en tant que gérant actif, il convient en premier lieu de diversifier ses sources de performance et ne pas se reposer sur une seule méthode aussi populaire soit-elle.
Source : Amaïka AM
H24 : Pour info, Amaïka AM a développé une offre de mandats d’arbitrage et organise une conférence sur le sujet avec JP Morgan AM et Amiral Gestion le 30 novembre. Pour en savoir plus, cliquez ici.
Publié le 21 juillet 2025
Autonomie stratégique de l’Europe : ce fonds offre "une opportunité unique"...
H24 a échangé avec Lazare Hounhouayenou, gérant du fonds BNP Paribas Europe Strategic Autonomy.
Publié le 21 juillet 2025
Buzz H24
Pour en savoir plus, cliquez sur un fonds | |
Dorval European Climate Initiative | 13.82% |
R-co 4Change Net Zero Equity Euro | 13.02% |
EdR SICAV Euro Sustainable Equity | 8.73% |
BDL Transitions Megatrends | 6.60% |
La Française Credit Innovation | 2.84% |
DNCA Invest Beyond Semperosa | 1.79% |
Equilibre Ecologique | 1.63% |
Echiquier Positive Impact Europe | 1.09% |
Triodos Future Generations | 0.08% |
Triodos Impact Mixed | -1.30% |
Triodos Global Equities Impact | -4.06% |
Aesculape SRI | -8.16% |