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Fidelity Absolute Return Global Equity Fund | 7.53% |
Pictet TR - Atlas | 5.26% |
Jupiter Merian Global Equity Absolute Return | 4.33% |
Sanso MultiStratégies | 4.08% |
AXA WF Euro Credit Total Return | 4.01% |
Candriam Absolute Return Equity Market Neutral | 3.33% |
Exane Pleiade | 3.24% |
DNCA Invest Alpha Bonds | 2.82% |
Syquant Capital - Helium Selection | 2.75% |
Candriam Bonds Credit Alpha | 2.70% |
H2O Adagio | 0.86% |
M&G (Lux) Episode Macro Fund | -1.27% |
Vivienne Bréhat | -6.31% |
Vous souhaitez vous aussi battre le meilleur des taux et des actions sur longue période ?
Publié le jeudi 1 décembre 2022
11 après sa création, Ginjer AM est en passe de remporter son pari : battre le meilleur des taux et des actions sur longue période. « Nos performances commencent à réaliser ce que nous voulions. Nous sommes en train de grappiller du terrain et battre nos confrères avec l’espoir de devenir un fonds de fond de portefeuille chez les conseillers financiers », souligne le fondateur Léonard Cohen. Les performances ? Ce sont celles de Ginjer Actifs 360, l’unique stratégie proposée la société de gestion. Et en effet, le fonds est 1er quartile de nombreuses périodes, aussi sur 1 mois et 3 mois que sur 3 ans et 8 ans). « Depuis 3 ans, notre surperformance n’a été faite quasiment que dans des vents contraires », précise même Bruno Zaraya, associé-fondateur en charge du développement retail. |
💪 Ma différence, c’est ma force
Pour poursuivre la métaphore maritime, ce résultat s’explique en 3 mots : GARDER LE CAP. Un slogan martelé par Ginjer AM. En d’autres termes, l’équipe s’impose une véritable discipline de gestion qu’elle maintient sur le long terme.
Cela se traduit par :
- ➡️ Une forte liquidité : que du large cap pour les actions, que du souverain pour les obligations
Un marqueur fort au moment où de nombreux investisseurs font le choix d’aller vers de l’illiquide de + en + illiquide. « Attention : une valeur qui pesait 45 milliards € peut tomber en faillite en 18 mois, alors qu’elle était en croissance. En septembre, les fonds de pension anglais ont vu des obligations indexées sur l’inflation plonger complétement en raison de problèmes de liquidité et cette nécessité de trouver du cash n’importe où. Pendant plusieurs années, les banquiers centraux ont amené l’argent à une valeur zéro. Ce monde est derrière nous mais les problèmes de liquidité sont devant nous », nous alerte Léonard Cohen.
- ➡️ Un taux de rotation très faible
« Ce n’est pas quelque chose de vain, insiste-t-il, nous maintenons nos convictions sur des paris et nous accompagnons ces sociétés en portefeuille ». Grâce à ses balises et son travail d’analyse différent, Ginjer AM revendique détoxiquer tous les bruits de marché (provoqués par les structurés, les trackers…) pour distinguer le risque systémique des risques épidermiques : « Le seul risque qui doit être porté par les investisseurs est que nous nous trompions et ne l’identifions pas. Notre défi est d’apporter une différence pour de la performance. Les remontées de taux d’intérêts, le moindre soutien des banquiers centraux, les éléments exogènes (covid, guerre en Ukraine) montrent cette nécessité. »
🎢 No pain, no gain
À partir de 2015, le choix a été fait d’assumer la volatilité. Dans la pratique, cela s'est vérifié depuis avec un taux d’exposition aux actions autour de 80%.
« Quand les taux d’intérêts étaient négatifs, quels espoirs avions-nous de détenir des obligations ? Regardez la performance depuis 2019 de vos fonds qui détenaient des obligations, elle s’est considérablement dégradée ! Bien sûr que vos clients ne supportent pas la volatilité et les variations que nous pouvons connaître. Mais ne gérer qu’avec l’idée de baisser la volatilité, cela n’a été que CONTREPRODUCTIF pour la performance », rappelle Léonard Cohen.
Revers de la médaille, des drawdowns marqués sur certaines périodes. Mais étaient-ils vraiment justifiés puisque les rebonds étaient juste après ? « Si vous les occultez, vous voyez une tendance. C’est le cap qui reflète nos analyses différentes », ajoute l’équipe qui se décrit comme « un animal atypique ».
🔎 Toujours des actions mais lesquelles ?
L'impression qui peut ressortir est celle d'un portefeuille plutôt figé. « C’est un reproche que l’on nous fait souvent : que nous ne sommes pas assez flexibles », reconnaît Léonard Cohen. À nouveau, la société assume son positionnement en faveur des actions. Aujourd’hui, il n’y a plus ni convertibles, ni futures (30% d’actions ont été achetées en remplacement).
Pour les sélectionner, la gestion va analyser le potentiel du titre, c’est-à-dire le différentiel entre les objectifs de prix et les cours de bourse. Or, il y a des secteurs dont la baisse des cours est beaucoup plus importante, alors même que le risque généré par les peurs ayant alimenté tout 2022 (inflation, Ukraine) n'est pas systémique. Ainsi, les rebonds pourraient être extrêmement violents lorsque le risque se réduira selon la société. « Les potentiels se réorientent vers d’autres segments que ceux que vous imaginiez. À partir du moment où l’on a nos balises et que l’on ne craint pas ce risque systémique, on s’oriente vers ces secteurs. On n’est pas si flexible, mais on a beaucoup de potentiel sans avoir besoin de changer le portefeuille », poursuit le fondateur. En première ligne : financières, matières premières et industriels, qui continuent d’avoir des potentiels suffisants pour battre le meilleur des marchés actions et taux.
En résulte un portefeuille « stable, cohérent et transparent », reflet de la philosophie recherchée par Ginjer AM. « Progressivement, vous allez nous voir en tête de beaucoup de classements. J’espère que vous nous ferez confiance car on a besoin de vous ! » lâche même Léonard Cohen.
Article rédigé par H24 Finance. Tous droits réservés.
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